La Marseillaise du 1er août 2007

(...) Lorsque Christiane Stefanski prend le micro, sa fragilité laisse la place à des mots d'amour et à des cris de révoltes. Des mots qu'elle emprunte à des auteurs comme France Léa, Anne Sylvestre, Ferré, Nougaro ou encore Brel : « Je suis interprète, je pique des mots. Merci à tous ces auteurs qui me permettent d'exprimer ce que je suis, ce que je veux dire sans devoir avoir le talent de l'écrire ». Un personnage tendre et attachant qui contrairement à ce qu'elle veut prétendre, ne manque pas de talent et qui nous balade dans ses émotions. (...) [Julien Rochette]

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