Au théatre du Cerisier, nous avons écouté Christiane Stefanski, novembre 2011

(...) Christiane apparait en force et en subtilité, telle qu'elle a toujours été : la muse lucide aux yeux de barricades et d'amour, aux gestes d'espoir et de soleil toujours vert dans la voix. C'est la petite fille qui joue à la marelle au pied d'un vieux terril. C'est l'arrière-cousine d'un rêveur inconnu. C'est la muse secrète du cercle des poètes jamais disparus (...) [Jacques Dapoz]

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